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Depuis, d’autres sujets de préoccupation ont surgi au point de reléguer à l’arrière-plan ce dossier : la crise sociale illustrée par la multiplication des grèves dans le secteur public, la crise économique qui perdure et le terrorisme avec son cortège de sang et de larmes. D’où l’idée d’élargir «le champ de cette initiative par «la mise en place d’une stratégie pour relever les défis auxquels l’état est confronté et d’engager un dialogue constructif entre toutes les composantes de la société civile en vue de parvenir à un consensus national à propos des réformes de structures et les choix fondamentaux susceptibles de surmonter les difficultés actuelles et redonner espoir aux Tunisiens», si l’on en croit Mohamed Ennaceur. Elle pourrait être annoncée très prochainement.
