Le juge d’instruction près le Tribunal de première instance de Tunis avait émis, en mai dernier, un mandat de dépôt à l’encontre du dirigeant de Fajr Libya pour une affaire classée terroriste.
Les autorités tunisiennes n’avaient peut-être pas d’autre alternative, mais il faut reconnaître que la décision de la Cour d’Appel est un camouflet pour notre pays, un de plus dirions-nous que les groupes terroristes libyens font subir à notre pays depuis des mois, malgré la neutralité qu’il observe dans le conflit interlibyen avec la multiplication des prises d’otage de ressortissants tunisiens et la disparition de deux journalistes.